Mmmh, le steak, c’est la vie ! Et voilà une bonne entrecôte…

Nous avons une théorie à ce sujet, et puisque vous avez eu la gentillesse de cliquer sur cette thématique, nous espérons que cela vous intéressera de l’entendre. Nous avons constaté que les personnes qui ne sont franchement pas intéressées par le véganisme ne vont jamais sur les sites spécialisés ou les pages véganes sur les réseaux sociaux, et ne ressentent pas le besoin d’essayer de narguer les véganes en postant des images de viande. Alors, se pourrait-il que ceux qui font cela se rendent compte au fond d’eux-mêmes qu’il y a quelque chose qui cloche dans le fait de manger de la viande, même s’ils ne peuvent pas se l’admettre ?

La plupart d’entre nous ne veut pas voir ce qui se passe à l’intérieur des élevages intensifs et des abattoirs, et la plupart d’entre nous ne veut pas s’imaginer que nous laissons à nos enfants une planète inhabitable. Il est donc tout à fait normal de fermer les yeux, et d’être sur la défensive quand il s’agit d’évoquer l’impact négatif de notre alimentation.

Une première chose que nous pouvons dire, c’est que la viande rouge est associée à un risque accru de cancer colorectal, de la prostate et du pancréas, et que toutes les viandes transformées se sont avérées cancérigènes. En témoigne notamment la récente étude de l’Anses sur les liens entre le cancer et la présence de nitrates et nitrites, notamment dans la charcuterie. Ainsi, ce que nous entendons lorsque les gens nous provoquent en nous disant qu’ils sont en train de manger de la viande au moment où ils nous parlent, c’est ceci : “J’augmente mon risque de cancer de l’intestin ! Tiens, prenez ça, les véganes !”

Et notre réponse est toujours celle-ci : s’il vous plaît, soyez bienveillants avec vous-même.

Étant donné que les véganes ont tendance à vivre plus longtemps en meilleure santé, arrêter la viande est un acte de compassion envers vous-même, mais aussi envers votre famille. En effet, une alimentation riche en produits d’origine animale augmente les risques de décès liés à une maladie cardiaque, un cancer de l’intestin ou un diabète de type 2. Pensez aussi à vos enfants ou vos futurs enfants : les habitudes alimentaires peuvent aussi impacter nos gènes et le patrimoine santé que nous léguons à nos enfants !

Vous ne vous considérez peut-être pas comme végane (et aucun d’entre-nous ne le faisait avant de finalement choisir cette voie), et vous ne voudrez peut-être jamais vous revendiquer comme tel, mais découvrez les témoignages de ceux qui ont osé l’aventure et vous réaliserez pourquoi tant des gens de tous horizons changent leur façon de manger et en tirent autant de bénéfices. Et tout cela a eu lieu parce qu’ils étaient prêts à faire l’expérience de quelque chose de nouveau.

Si vous aimez le steak, vous serez ravi d’apprendre qu’il existe des steaks végétaux qui ressemblent étonnamment, se cuisinent de la même façon et ont quasiment les mêmes saveurs que la viande, les aspects négatifs en moins. On peut préparer des nuggets, des burgers, des tacos ou des hot-dogs véganes, et se procurer toute une variété d’alternatives aux produits animaux auxquels nous sommes attachés de par notre histoire et nos habitudes. Vous serez surpris de constater qu’il est ainsi possible de recréer la plupart des saveurs et des repas que l’on apprécie, sans avoir à en supporter les inconvénients.


Si vous souhaitez approfondir cette réflexion, nous vous invitons à regarder cette capsule de Réplique Éthique qui traite du lien entre le goût de la viande et la consommation d’animaux. Bon visionnage !

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